2 janvier 2017
Prose sexuée d'une femme libre
J'ai le cul bien assis
Entre deux baises
Pourvu que j'crie
Pourvu que tu t'taises,
J'm'améliore à mort
Continue, bien fort.
J'préfère mon corps
A ma sal'té de coeur
Il n'en retient
Qu'un seul
A la foi.
ELYA VERDAL
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